Nouveau | Quand bébé grandit Ce qui se joue vraiment avant 6 ans - Du biberon au cartable, rien ne sert de courir ! de Catherine Graindorge Commentaire Entre sa naissance et ses six ans, votre enfant aura appris à sourire, à marcher, à parler... Des progrès tellement prodigieux qu'une célèbre théorie l'affirme : " Tout se joue avant six ans. " D'où la tendance à forcer son bébé à exploiter ses aptitudes et sa personnalité au maximum dès sa naissance... avec, pour conséquence, des enfants surstimulés et des parents inquiets ! Pourtant, pour grandir, Bébé a besoin de s'imprégner des choses pour se les approprier. Il ne doit surtout pas brûler les étapes mais avancer pas à pas et à son rythme. Le Pr Graindorge raconte dans ce livre le parcours passionnant d'un bébé et de ses parents. Elle nous montre aussi, et surtout, que rien ne sert de courir : il suffit de négocier tranquillement chaque étape et d'en comprendre les enjeux. |
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 | Quand il n'y a plus de larmes Face à la dépression postnatale de Brooke Shields Commentaire " Il était une fois une petite fille qui rêvait d'être maman. Plus que tout au monde, elle désirait un bébé. La fillette devint une femme et cette femme rencontra son Prince Charmant, mais, comme ils n'arrivaient pas à avoir d'enfant, elle finit par admettre que, sans un sérieux coup de pouce de la médecine, son rêve ne se réaliserait jamais. S'ensuivit alors une série d'interventions et de traitements contre l'infertilité. Après plusieurs échecs, elle désespéra et se dit qu'elle avait raté sa vie. Jusqu'au jour où elle tomba enceinte... " Cette femme, c'est Brooke Shields, la petite fiancée de l'Amérique, l'actrice révélée à treize ans par Louis Malle. Dans ce témoignage, elle raconte son long combat pour enfanter, et le bonheur qui aurait dû être le sien après la naissance de sa fille Rowan. Elle ignorait alors que son calvaire ne faisait que commencer... |
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 | Que devient mon patrimoine en cas de rupture Concubinage, Pacs, mariage - Règles et précautions à prendre en cas de séparation ou de décès de Hervé Jarrige-Lemas Commentaire Après une séparation ou un décès. le patrimoine du couple est modifié. La communauté de biens disparaît avec la communauté de vie. Et de légitimes questions apparaissent : - Comment se répartissent les biens ? - Que deviennent les dispositions prises antérieurement ? - Le concubin ou le conjoint survivant est-il protégé ou démuni ? - Peut-on revenir sur des avantages accordés ? Certaines réponses sont contenues dans les décisions initiales prises par le couple : concubinage avec ou sans PACS, choix du régime matrimonial... D'autres le sont dans les solutions envisagées au cours de la vie commune : - comment et pourquoi acheter - ou ne pas acheter - en commun, acheter en indivision ou en société civile ; - comment transmettre un bien à son conjoint ou concubin ; - quels sont, pour un couple, les pièges des différents placements immobilier, assurance-vie, valeurs mobilières... Toutes sont décrites et expliquées dans le détail, accompagnées de nombreux exemples dans ce manuel synthétique, ordonné et pratique. à la portée du plus grand nombre. |
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 | Que faire avec un bac ES ? Tout savoir pour réussir son orientation de Pascal Fitzner et Marie Lorène Giniès Commentaire Les bacheliers ES présentent des profils très variés ouvrant sur de nombreuses possibilités d'études. Vous trouverez dans ce guide tout ce qu'il faut savoir avant de vous décider : les principaux types d'établissements et des pistes pour choisir la filière la plus adaptée à votre profil. 60 % des titulaires d'un bac ES se dirigent vers les bancs de la fac. Si on les retrouve logiquement en licence d'économie, les sciences humaines, les langues et les lettres attirent également un grand nombre d'entre eux. Les formations courtes (BTS et DUT) et les écoles du paramédical vous permettront, quant à elles, d'entrer rapidement dans la vie active. Réservées aux plus motivés, les classes préparatoires restent la voie royale pour accéder aux écoles de commerce, à l'ENS ou à Sciences Po, tandis que d'autres écoles sont accessibles dès le bac. Les témoignages d'étudiants et de professionnels guideront vos pas sur cette nouvelle planète ! |
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 | Que faire avec un bac STG ? Tout savoir pour réussir son orientation de Marie Lorène Giniès Commentaire Le bac STG (sciences et technologies de la gestion), venu remplacer le bac STT (sciences et technologies tertiaires), vise à faciliter la poursuite d'études dans le supérieur. Les filières courtes restent particulièrement bien adaptées au cursus de ces bacheliers. Il existe ainsi une multitude de BTS et DUT tertiaires dont les spécialités sont très appréciées des employeurs : gestion administrative et commerciale, carrières juridiques, gestion logistique et transport... La fac propose elle aussi une grande variété de filières professionnelles en relation directe avec le marché de l'emploi : licences professionnelles, IUP, etc. Enfin, certaines écoles spécialisées vous ouvriront leurs portes, notamment si vous vous dirigez vers la vente, la distribution ou le secrétariat. Vous trouverez dans ce guide tous les éléments pour déterminer votre projet professionnel et bien choisir votre formation. Seules conditions pour réussir : un bon dossier scolaire et une forte dose de motivation |
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Nouveau | Que faire si mon chien... de Jim Evans Commentaire Que faire si mon chien... est un livre très pratique qui traite, de façon claire et humoristique, de sujets sérieux, plus ou moins délicats, souvent négligés par les ouvrages consacrés aux chiens. Il aborde de nombreuses situations concrètes auxquelles un maître se voit confronté au quotidien. Que faire si mon chien... vous propose de multiples conseils qui vous permettront de régler avec efficacité tous les problèmes de comportement et d'apprentissage de votre chien, des petits accidents aux actes pouvant nuire à la collectivité. Enfin, il se révélera précieux et complet sur la manière de réagir face aux symptômes et aux blessures de votre animal préféré. Que faire si mon chien... contient tout ce qu'il faut savoir pour faciliter la vie du chien comme celle du maître. |
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Nouveau | Que vaut l'enseignement en France ? Les conclusions du Haut Conseil de l'évaluation de l'école de Christian Forestier et Claude Thélot Commentaire Difficile, dans notre pays, de parler d'école sans querelles et humeurs. La France, pourtant, s'est récemment dotée d'instruments scientifiques d'observation. Elle participe aux grandes études internationales. Mais ces travaux ne sortent guère du cercle des initiés. Entre 2000 et 2005, le Haut Conseil de l'évaluation de l'école, organisme à la fois officiel et indépendant, a passé au crible nos outils d'appréciation, commandé maints rapports sur les sujets "sensibles", et formulé, en dernière instance, une série d'avis éclairants. Ses conclusions sont ici rassemblées et commentées dans une langue accessible à tous les professionnels et à tous les usagers de l'école. Que penser de l'actuel niveau des élèves ? Combien de jeunes gens sont en grande difficulté scolaire ? Quelles sont les forces et les faiblesses de notre système ? Pourquoi est-il injuste et sexiste ? Comment la France se situe-t-elle par rapport aux pays comparables ? Qu'est-ce qu'un "bon" lycée ? Le redoublement est-il profitable ou dommageable ? Les professeurs sont-ils convenablement évalués ? Autant d'interrogations qui trouvent enfin réponses. Loin des invectives, des modes, des idées reçues, voici des faits. Pour que le débat ait lieu. Enfin. |
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 | Quel travail pour les exclus ? Pour une politique de l'insertion durable de Pascal Noblet Commentaire L'insertion a été conçue jusqu'à présent sous la forme exclusive de l'accès à l'emploi dans le secteur marchand. Mais ce dernier offre peu d'emplois aux personnes issues des emplois aidés du secteur non marchand. Par conséquent, l'insertion revient à fournir au secteur public, parapublic et associatif une main-d'œuvre bon marché privée de tout espoir de voir sa situation véritablement s'améliorer. Constatant ainsi l'échec et la paralysie des politiques d'insertion, Pascal Noblet propose une véritable alternative politique : pourquoi le secteur public et associatif devrait-il être exonéré de l'effort d'embauche attendu des autres employeurs ? Une politique de discrimination positive pour permettre l'accès aux emplois ordinaires du secteur public et associatif devrait être instituée ; pour les personnes qui, malgré cette politique, ne souhaiteraient pas occuper un emploi ordinaire ou n'y parviendraient pas, des emplois d'insertion dans le secteur non marchand, mieux rémunérés qu'aujourd'hui, pourraient devenir pérennes afin de garantir le droit à une insertion intermédiaire. Ainsi deviendrait réellement attractive une politique française de priorité du travail sur l'assistance différente du workfare anglo-saxon qui tend à conditionner l'assistance à une contrepartie de travail dans une optique punitive. |
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Nouveau | Quels impôts demain ? Etat de l'impôt et réformes fiscales de Vincent Drezet Commentaire Pavé dans la mare des idées reçues, ce livre dresse un bilan de notre fiscalité en la replaçant dans le contexte de concurrence fiscale internationale, alors qu'on assiste à une baisse régulière de l'impôt sur le revenu et à la croissance des "niches fiscales". L'auteur passe aussi en revue les évolutions des différents impôts (impôts d'État et impôts locaux) et propose une discussion sur les principales réformes fiscales envisagées, avant de tracer les pistes d'une réforme fiscale en France mais également en Europe. C'est un outil qui rend accessible aux citoyens le débat fiscal en éclairant ses modalités et ses enjeux. |
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Nouveau | Qui aime bien, vaccine peu ! de Groupe médical de réflexion sur les vaccins Commentaire Sans remettre en cause l'efficacité des vaccins, cet ouvrage pose la question de leur multiplication dans des populations en bonne santé. Peut-on sans risque obliger le fragile organisme du nouveau-né à s'immuniser contre cinq ou six maladies ? Et lui faire subir avant deux ans une quarantaine d'inoculations, accompagnées de leurs additifs et de leurs impuretés ? Vaut-il la peine de protéger les enfants contre des maladies bénignes ou improbables ? Est-il sans danger d'intervenir dans leurs défenses naturelles ? Ces vaccinations massives et précoces n'ont-elles pas leur part dans l'inquiétante augmentation d'autres maladies chez l'enfant ? Se basant sur une longue pratique quotidienne, les auteurs affirment qu'il est possible de vacciner moins massivement et de manière plus nuancée, en tenant compte de chaque situation, pour pouvoir faire un choix adapté à ses données personnelles. |
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